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La gestion du PER individuel

Le départ à la retraite est une étape importante dont la préparation et l’anticipation durant sa vie active est nécessaire. Le PER individuel est un produit d’épargne à long terme, permettant aux titulaires de contrat d’effectuer des versements tout au long de leur vie. Depuis sa mise en place le 1er octobre 2019, suite à la loi Pacte, le PER individuel rencontre un grand succès auprès des Français. En bénéficiant de ce produit d’épargne, les épargnants profitent de multiples avantages fiscaux. Lors de la création de son PER individuel, les titulaires de contrat doivent effectuer un choix, entre 3 modes de gestion : la gestion pilotée, la gestion libre et la gestion à horizon. L’épargnant pourra alors procéder à une liquidation de son épargne sous forme de rente ou de capital, à l’âge légal de départ à la retraite, soit 62 ans. Cependant, ce dernier peut recourir à un déblocage anticipé de son PER individuel dans des cas de forces majeurs.

Qu’est-ce que le PER individuel ? Quelles sont les particularités de ces trois modes de gestion ? Nous allons, dans cet article, répondre à vos interrogations.

 

Qu’est-ce que le PER individuel ?

Le PER est un produit d’épargne regroupant d’ancien produit retraite, tels que le PERP et le Madelin, et permettant aux épargnants de se constituer une épargne pour leur départ à la retraite.

3 PER se distinguent alors :

  • Le PER individuel.
  • Le PER d’entreprise collectif.
  • Le PER d’entreprise obligatoire.

Ces derniers ont des caractéristiques différentes et visent différentes catégories d’épargnants.

Vous souhaitez en apprendre davantage sur les 3 PER ? Nous vous invitons à lire notre article sur le sujet.

Le PER individuel est un produit d’épargne ouvert à l’ensemble des citoyens français.

Afin de recourir à un PER individuel, l’épargnant doit se rendre dans un organisme spécialisé : une banque, une mutuelle, une entreprise de gestion de patrimoine.

 

Comment fonctionne le PER individuel ?

Pour alimenter son PER individuel, les titulaires de contrat peuvent effectuer divers versements.

  • Les versements volontaires : ces derniers sont libres et, comme son nom l’indique, volontaires. Les épargnants peuvent opter pour des versements programmés ou ponctuels.
  • Par le transfert des sommes provenant d’anciens contrats : depuis la mise en place de la loi Pacte, les transferts sont plus facilement réalisables. Les épargnants peuvent désormais transférer les sommes accumulées sur un ancien contrat, comme le Madelin ou le PERP sur leur PER individuel.
  • Le transfert de somme entre deux PER.
  • Le transfert d’une assurance-vie vers un PER suite à son rachat : les épargnants ont jusqu’au 1 janvier 2023 pour effectuer un rachat de leur assurance-vie afin de le transférer sur un PER.

 

Les modes de gestion du PER individuel

Lors de l’ouverture de son produit d’épargne, les titulaires de contrat doivent effectuer un choix entre 3 modes de gestion : la gestion pilotée, la gestion par horizon et la gestion libre.

Ces 3 modes de gestion ont des caractéristiques différentes et n’ont pas le même fonctionnement.

En optant pour une gestion pilotée de son PER individuel, l’épargnant est accompagné d’un expert. Ce dernier va accompagner les titulaires de contrat dans la gestion de leur produit d’épargne. Bénéficier d’une gestion pilotée de son PER individuel assure aux épargnants de bons rendements lors de la mise en place de leur contrat.

3 profils d’épargnant se distinguent. Ces derniers ont pour vocation de favoriser les placements des épargnants.

Les 3 profils d'épargnants
Les 3 profils d’épargnants : dynamique horizon retraite, prudent horizon retraite et équilibré horizon retraite

 

  • “Dynamique horizon retraite”.
  • “Prudent horizon retraite”.
  • “Équilibré horizon retraite”.

La gestion à horizon est le choix par défaut. Ce dernier à pour objectif de diriger les versements réalisé les premières années suivant l’ouverture du contrat sur des actifs de long terme, davantage risqués, mais assurant aux épargnants une meilleure espérance de performance.

Lorsque l’épargnant décide d’opter pour une gestion libre de son PER individuel, ce dernier bénéficiera davantage de liberté concernant les supports sur lesquels il souhaite effectuer ses versements.

 

Comment débloquer son épargne ?

Lors de la liquidation de son épargne, soit à 62 ans, l’âge légal de départ à la retraite, l’épargnant peut opter pour une sortie en capital, une sortie en rente ou bien les deux.

Si vous souhaitez en apprendre encore plus sur les conditions de sortie du PER, nous vous invitons à lire notre article sur le sujet.

 

Le déblocage anticipé du PER.

Bien que les fonds accumulés sur le PER individuel de l’épargnant soient liquidables lors de son départ à l’âge légal de la retraite, ce dernier peut, dans certaines situations exceptionnelles, appelées “incidents de vie“, recourir à un déblocage anticipé de son PER :

  • Le décès du conjoint ou du partenaire de PACS.
  •  En 2e et 3e catégorie de SS du titulaire, l’invalidité du titulaire du contrat ou de son conjoint.
  • Fin de droits au chômage.
  • Liquidation judiciaire.
  • Le surendettement du titulaire de contrat.
  • L’acquisition de la résidence principale.

 

Le PER individuel est un produit d’épargne permettant au titulaire de contrat de se constituer une épargne pour leur départ à la retraite. Ce dernier doit alors opter pour un mode de gestion : gestion libre, gestion pilotée ou gestion à horizon. Lorsque que celui-ci souhaite récupérer les sommes accumulées sur son PER individuel, une sortie en rente ou en capital lui sera proposée. Cependant, il reste possible, dans certaines situations exceptionnelles, de bénéficier d’un déblocage anticiper du PER individuel.

Si vous souhaitez prendre contact avec l’un de nos conseillers, cliquez sur l’onglet “souscrire”.

Quelles sont les conditions de sortie d’un plan d’épargne retraite individuel ?

Le plan d’épargne retraite individuel est un nouveau produit d’épargne retraite à long terme. Depuis sa mise en place le 1er octobre 2019, suite à la création de la loi Pacte, ce dernier a pour vocation de permettre aux titulaires de ce contrat de préparer et anticiper leur départ à la retraite en épargnant durant leur vie active. Les épargnants vont alors se constituer des revenus complémentaires et bénéficieront d’avantages fiscaux intéressants. Les fonds cumulés sur le PER individuel seront donc bloqués jusqu’à l’âge légal de départ à la retraite, soit 62 ans. Cependant, il existe des cas exceptionnels, appelées “incidents de vie” permettant aux titulaires de contrat de bénéficier d’un déblocage anticipé de leur PER.

Il existe 3 PER, avec pour chacun leurs caractéristiques.

  • Le PER individuel.
  • Le PER d’entreprise collectif.
  • Le PER d’entreprise obligatoire.

 

Si vous souhaitez en apprendre davantage sur les différents PER et leurs particularités, nous vous invitons à consulter notre article sur le sujet.

Qu’est-ce qu’un PER individuel ? Comment ce dernier fonctionne-t-il ? Et quelles sont ses conditions de sortie ? Nous allons, dans cet article, répondre à vos interrogations.

 

Qu’est-ce que le PER individuel ?

Le plan d’épargne retraite individuel est un produit d’épargne à long terme. Ce dernier succède à d’anciens produits retraite, le PERP et le contrat Madelin. En ayant recours à ce PER, les épargnant se constituent tout au long de leur vie active, des revenus complémentaires pour préparer et anticiper leur départ à la retraite. Les titulaires de contrat vont alors pouvoir effectuer des versements libres ou programmés sur leur produit d’épargne. Lors de la liquidation des sommes accumulées sur son PER, à l’âge légal de départ à la retraite, les épargnants pourront liquider les fonds sous formes de rente ou de capital.

 

Qui peut recourir à un PER ?

Le PER est un produit d’épargne accessible à tous, sans aucune considération de l’âge et de la situation professionnelle de l’épargnant.

 

Comment souscrire à un PER individuel ?

Pour souscrire à un PER individuel, les intéressés doivent se rendre dans un organisme spécialisé :

  • Une entreprise d’assurance.
  • Une mutuelle.
  • Une banque.
  • Un conseil financier.

 

Comment alimenter son PER individuel ?

Afin d’alimenter son PER individuel, les titulaires de contrat peuvent effectuer divers versements.

  • Les versements volontaires : ces derniers sont libres et les épargnants peuvent effectuer des versements libres ou programmés, selon leurs préférences.
  • En transférant les sommes issues d’un autre contrat : la mise en place de la loi Pacte a facilité les transferts entre contrats. Les anciens produits retraite peuvent donc être transférés sur un PER.

 

Les différents modes de gestion du PER individuel

 

Les 3 modes de gestion du PER
Les 3 modes de gestion du PER : gestion pilotée, gestion à horizon et gestion libre

 

L’épargnant, lorsqu’il ouvre son produit d’épargne, se voit proposé trois modes de gestion : la gestion à horizon, la gestion libre et la gestion pilotée.

Le mode de gestion à horizon permet aux épargnants de déléguer la gestion de son PER à un expert, qui l’accompagnera dans ses démarches. En optant pour ce mode de gestion, les rendements de l’épargnant seront meilleurs lors de la mise en place du contrat.

Il existe donc 3 profils d’épargnants :

  • “Équilibre horizon retraite”.
  • “Dynamique horizon retraite”.
  • “Prudent horizon retraite”.

Dans le cadre d’une gestion libre de son PER individuel, l’épargnant est libre de choisir les supports sur lesquels ils souhaitent effectuer ses versements. Il bénéficie ainsi davantage de liberté et d’indépendance.

Lorsque les titulaires de contrat optent pour une gestion pilotée de leur produit d’épargne, les versements réalisés lors de la création du contrat seront dirigés sur des actifs de long terme, plus risqués, mais leur assurant une bonne performance. Quand ces derniers se rapprochent de l’âge légal de départ à la retraite, les sommes accumulées sur le produit d’épargne seront dirigées vers des supports financiers plus sécurisés.

 

La fiscalité du PER individuel à l’entrée

À l’entrée, les sommes versées volontairement sur le PER bénéficient d’avantages fiscaux. Effectivement, les sommes versées seront déduites, selon un plafond, du revenu taxable de l’épargnant.

 

La fiscalité du PER individuel à la sortie

Lorsque l’épargnant souhaite liquider les sommes accumulées sur son PER, à l’âge légal de départ à la retraite, soit 62 ans, il a la possibilité de choisir entre une sortie sous forme de capital ou de rente.

 

La fiscalité appliquée lors d’une sortie en capital

En optant pour une sortie en capital, les versements volontaires effectués par l’épargnant et déduits du revenu taxable sera imposable à l’impôt sur le revenu.

Quant aux plus-values, elles seront soumises au PFU (le prélèvement forfaitaire unique) à hauteur de 30 %.

 

La fiscalité appliquée lors d’une sortie en rente

Si l’épargnant a bénéficié d’une déduction de ses impôts sur ses versements volontaires, la rente sera imposable. Les épargnants seront également soumis aux prélèvements sociaux, à hauteur de 17,2 %.

Cependant, si ce dernier n’a pas souhaité bénéficier d’une déduction de ses impôts sur ses versements volontaires, la rente viagère à titre onéreux sera appliquée. Cela signifie que seul une partie de la rente deviendra imposable à l’impôt sur le revenu et aux cotisations sociales. L’épargnant sera aussi soumis aux prélèvements sociaux à hauteur de 17,2 %.

 

La possibilité de recourir à un déblocage anticipé de son PER individuel

Afin de pouvoir liquider les sommes accumulées sur leur produit d’épargne retraite, les épargnants doivent attendre l’âge légal de départ à la retraite, soit 62 ans. Toutefois, ces derniers peuvent bénéficier d’un déblocage anticipé de leur PER individuel, dans des situations exceptionnelles, appelées “incidents de vie“.

Les situations exceptionnelles permettant un déblocage anticipé de son PER sont :

  • Le décès du conjoint ou du partenaire de PACS.
  •  En 2e et 3e catégorie de SS du titulaire, l’invalidité du titulaire du contrat ou de son conjoint.
  • Fin de droits au chômage.
  • Liquidation judiciaire.
  • Le surendettement du titulaire de contrat.
  • L’acquisition de la résidence principale.

 

Le PER individuel est un produit d’épargne permettant aux titulaires de contrat de bénéficier de certains avantages fiscaux. Afin de liquider les sommes accumulées sur leur produit d’épargne, ces derniers sont dans l’obligation d’attendre l’âge légal de départ à la retraite, soit 62 ans. Ils pourront ainsi débloquer les fonds sous formes de capital ou de rente. Cependant, il est possible, dans certaines situations exceptionnelles, les “incidents de vie” de bénéficier d’un déblocage anticipé de son PER individuel.

 

Vous souhaitez en apprendre davantage sur le PER ? Des questions restent sans réponses ? Nous vous invitons à contacter l’un de nos conseillers via l’onglet “souscrire”.

L’essentiel à savoir sur le fonctionnement du PER.

Le plan d’épargne retraite est un produit d’épargne à long terme ayant pour vocation de remplacer d’anciens produits retraite, le PERP et le Madelin. Ce dernier est un produit d’investissement intéressant permettant à l’épargnant d’anticiper et préparer son départ à la retraite durant sa vie active afin de bénéficier de revenus complémentaires pour sa retraite. En ayant recours à ce produit, les épargnants profitent de différents avantages fiscaux. Pour procéder à une liquidation de son épargne, le souscripteur doit attendre l’âge légal de départ à la retraite, soit 62 ans. Mais l’épargnant à la possibilité de recourir à un déblocage anticipé de son PER, dans certaines conditions, appelées « incidents de vie ».

Quel est le fonctionnement du PER ? Nous allons, dans cet article, répondre à cette question.

 

Les différents PER : le PER individuel, le PER d’entreprise collectif et le PER d’entreprise obligatoire

Le PER individuel est un produit d’épargne destiné aux travailleurs non-salariés et aux particuliers. Le contrat est alimenté de différentes manières.

  • Les versements volontaires : ces derniers sont libres. Les épargnants peuvent, selon leurs préférences, effectuer des versements réguliers, ou alors décider d’effectuer un seul versement dans l’année.
  • Par un transfert des sommes issues d’anciens contrats de retraite.

Le PER d’entreprise collectif est destiné aux salariés d’une entreprise et est facultatif.

Ce dernier est alimenté par :

  • Versements volontaires de la part des salariés.
  • Les fonds issus de la participation, de l’intéressement et des droits inscrits sur un compte épargne temps.
  • Si l’épargnant ne bénéficie pas d’un compte épargne temps, les fonds correspondant aux jours de repos non pris, dans la limite de 10 par an.

 

Le PER d’entreprise obligatoire s’adresse aux salariés d’une entreprise ou à une catégorie de salariés. L’adhésion est, comme son nom l’indique, obligatoire.

Il est alimenté par :

  • Des versements volontaires ou obligatoires de la part du salarié.
  • Les fonds issus de l’intéressement, la participation et les droits inscrits sur son compte épargne temps.
  • Si l’épargnant ne bénéficie pas d’un CET, les sommes correspondant aux jours de repos non pris, dans la limite de 10 par an.
  • Par les sommes provenant du transfert d’un autre PER.

 

Les différents modes de gestion

Lorsque l’épargnant ouvre son PER, ce dernier a une décision à prendre : il doit choisir entre trois modes de gestion qui sont la gestion libre, la gestion pilotée et la gestion à horizon. Selon le mode de gestion choisi par l’épargnant, son implication dans le choix des supports d’investissements est plus ou moins forte.

Les modes de gestion du PER
Les 3 modes de gestion du PER : la gestion pilotée, la gestion libre et la gestion à horizon

La gestion libre

En optant pour une gestion libre, l’épargnant bénéficie davantage de liberté concernant le placement de ses versements et les divers supports existants. L’épargnant est donc entièrement libre de ses choix. L’épargnant effectue ses versements sur des fonds en euros et des supports en unités de compte.

 

La gestion pilotée

En choisissant ce mode de gestion, les épargnants bénéficient d’une aide de la part de services de gestions. Ces derniers ont pour objectif d’accompagner les épargnants dans la répartition de leur épargne.

 

La gestion à horizon

Ce mode de gestion est le choix par défaut s’offrant aux épargnants. Sans contestation de la part de ces derniers, le mode de gestion adopté sera celui-ci.

Cette dernière fonctionne comme ceci : à l’ouverture de leur PER, l’épargne est dirigée vers des actifs de long terme. Il y a de ce fait des risques, mais ce mode de gestion assure à l’épargnant une grande espérance de performance.

Cependant, à l’approche de la retraite, l’épargne est dirigée vers des supports financiers davantage sécurisés.

Il existe trois profils, déterminant le degré de sécurité du contrat de l’épargnant :

  • Prudent horizon retraite.
  • Dynamique horizon retraite.
  • Équilibré horizon retraite.

Pour en savoir plus sur les différents modes de gestion, nous vous invitons à lire notre article sur le sujet.

 

Une sortie en capital ou rente

Le titulaire à la sortie a le choix entre une sortie en capital ou une sortie en rente.

Néanmoins, pour les fonds issus de versements obligatoires, l’épargnant ne peut bénéficier d’une sortie en capital.

Cette décision est prise en fonction des préférences, des choix et des besoins des épargnants, mais également du genre de versements effectués par ce dernier.

L’épargnant peut pareillement opter pour une sortie en rente viagère. Le titulaire de contrat recevra alors une rente mensuelle jusqu’à son décès. Au décès de l’épargnant, les sommes cumulées sur son PER seront reversées à ses bénéficiaires.

Pour en apprendre davantage sur les modalités de sortie du PER, nous vous invitons à lire notre article sur le sujet.

 

Un cas particulier : le déblocage anticipé du PER

Afin de liquider les fonds cumulés sur son Plan Épargne Retraite, les titulaires de contrat doivent attendre l’âge légal de départ à la retraite, soit 62 ans.

Cependant, il reste possible, dans certaines conditions appelées « incidents de vie », de bénéficier d’un déblocage anticipé du PER. Les épargnants pourront ainsi récupérer les fonds économisés sur leur PER.

Les conditions permettant un déblocage anticipé du PER sont :

  • Le décès du conjoint ou du partenaire de PACS.
  • En 2ᵉ et 3ᵉ catégorie de SS du titulaire, l’invalidité du titulaire du contrat, de ses enfants ou de son conjoint.
  • Fin de droits au chômage.
  • Liquidation judiciaire.
  • Le surendettement du titulaire de contrat.
  • L’acquisition de la résidence principale.

 

Quels sont les avantages du PER ?

Le PER est donc un produit d’investissement avantageux. Ce dernier permet aux épargnants de se constituer un revenu complémentaire pour préparer et anticiper leur départ à la retraite. De plus, en souscrivant à un PER, les épargnants profitent d’un avantage fiscal. Quant aux conditions de sorties, elles se sont élargies. Il est désormais possible pour l’épargnant de recourir à un déblocage anticipé du PER s’il rencontre des situations malheureuses.

 

Si vous souhaitez en apprendre davantage sur le PER et ses caractéristiques, nos conseillers se tiennent à votre disposition. Vous pouvez prendre contact avec l’un d’entre eux via l’onglet « souscrire ».

Qu’est-ce que le PER individuel ?

Depuis sa mise en place le 1er octobre 2019, le PER, issu de la loi Pacte, rencontre un grand succès auprès des Français.  Ce dernier succède à d’anciens produits, le Madelin, le PERP et le PERCO. Trois différents PER sont sur le marché, avec pour chacun leurs caractéristiques : le PER individuel, le PER d’entreprise collective et le PER d’entreprise obligatoire.

– Le PER individuel : il est ouvert à tous, sans condition d’âge ou de situation professionnelle. Il est entretenu par votre propre épargne. Vous êtes donc les seuls à alimenter ce compte.

– Le PER d’entreprise obligatoire : proposé par certaines entreprises, les salariés sont obligés d’y souscrire s’ils font partie de la catégorie visée par le dispositif.

– Le PER d’entreprise collective : il est ouvert à l’ensemble des salariés d’une entreprise, sans obligation de souscription.

 

Le PER individuel est un produit permettant aux titulaires de contrat d’épargner sur le long terme, afin de préparer et anticiper leur retraite dans les meilleures conditions.

Mais qu’est-ce que le PER individuel, comment l’alimenter, quand récupérer la somme présente sur son PER individuel ? Nous allons, dans cet article, répondre à toutes vos interrogations.

 

Qu’est-ce que le PER individuel ?

Le plan d’épargne retraite individuel est un produit d’épargne à long terme, mis en place le 1er octobre 2019 suite à la réforme des retraites, la loi Pacte. Ce dernier remplace d’anciens contrats, le Madelin et le Perp. L’objectif du PER est de permettre aux épargnants de se constituer une épargne afin d’économiser et de préparer au mieux leur départ à la retraite. Le PER individuel propose de nombreux avantages : une sortie en capital, des cas de déblocage anticipé et une fiscalité avantageuse.

Ce contrat est ouvert à toute personne résidant en France, et ne prend pas compte de la situation professionnelle et de l’âge du souscripteur. Ces derniers peuvent effectuer des versements libres ou programmés, selon leur préférence.

De plus, bénéficier d’un PER individuel garantit à l’épargnant de jouir d’un régime fiscal intéressant.

 

Comment l’épargnant peut-il souscrire à un PER individuel ?

Pour souscrire à un PER individuel, l’épargnant doit se rapprocher d’un intermédiaire :

  • Un organisme spécialisé dans les contrats d’assurance.
  • Une banque.
  • Un conseiller financier.

 

Comment alimenter son PER individuel ?

Afin d’alimenter son PER individuel, l’épargnant peut avoir recours à deux possibilités :

  • Par des versements volontaires :

Ces derniers sont volontaires, libres et déductibles du revenu imposable.

  • Par le transfert d’un ancien contrat :

La mise en place de la loi Pacte facilite les transferts. Ainsi, les anciens contrats PERP et Madelin peuvent être transférés vers un PER.

 

Quelles sont les modes de gestion proposées ?

Schéma des différents modes de gestion du PER individuel.
C’est un schéma énumérant les différents modes de gestion proposés par le PER individuel.

Trois modes de gestion sont proposées à l’épargnant : la gestion à horizon, la gestion pilotée et la gestion libre.

Le mode de gestion à horizon permet aux épargnants de bénéficier du meilleur rendement lors de la création de votre épargne. Avec ce mode de gestion, l’épargne sera assurée par un pilotage automatique. Un expert va alors accompagner l’épargnant dans la gestion de son PER individuel.

Afin d’optimiser les placements de l’épargnant, il existe 3 profils :

  • « prudent horizon retraite ».
  • « équilibré horizon retraite ».
  • « dynamique horizon retraite ».

 

L’épargnant peut également opter pour une gestion pilotée ou une gestion libre.

En optant pour une gestion pilotée, les versements effectués en début de contrat sont versés sur des actifs de long terme. Les risques sont alors plus élevés, mais l’espérance de performance est améliorée. Cependant, à l’approche du départ à la retraite, l’épargne sera versée sur des supports financiers plus sécurisés.

En optant pour une gestion libre, l’épargnant assure la gestion de ses investissements librement. Il est alors indépendant dans le choix des supports d’investissement.

Pour en apprendre davantage sur les différents modes de gestion, nous vous invitons à lire notre article sur le sujet.

La fiscalité appliquée au PER individuel

Il faut distinguer la fiscalité appliquée au PER individuel à l’entrée et à la sortie.

  • À l’entrée, les sommes versées volontairement sur le PER individuel, dans la limite d’un plafond, sont déduits du revenu taxable. Si l’épargnant ne souhaite pas jouir de cet abattement fiscal, les intérêts perçus sont imposables.
  • En cas de sortie en capital, et si les versements volontaires ont été réduits du revenu taxable, ce dernier est imposable à l’impôt sur le revenu. Les plus-values seront alors soumises à 30 % au PFU, le prélèvement forfaitaire unique.

 

Comment débloquer son PER individuel ?

Si l’épargnant souhaite débloquer son PER individuel à l’âge légal de départ à la retraite, soit 62 ans, l’épargne accumulée sera versée en capital.

Cependant, il est possible sous certaines conditions de liquider son PER individuel avant l’âge légal de départ à la retraite, en bénéficiant d’un déblocage anticipé du PER individuel. Les critères justifiant cette opération sont :

  • Le décès du conjoint ou du partenaire de PACS.
  • En 2ème et 3ème catégorie de SS du titulaire, l’invalidité du titulaire du contrat, de ses enfants ou de son conjoint.
  • Fin de droits au chômage.
  • Liquidation judiciaire.
  • Le surendettement du titulaire de contrat.
  • L’acquisition de la résidence principale.

 

Que se passe-t-il en cas de décès du titulaire de contrat ?

Dans le cas d’un décès, les sommes acquises par l’épargnant seront reversées aux bénéficiaires sous forme de capital. Cependant, si l’épargnant décède après 70 ans, et seulement si les sommes présentes sur son PER individuel excèdent les 30 500 euros, ce dernier sera imposable aux droits de succession.

 

Vous souhaitez en apprendre davantage sur le PER ? Vous souhaitez connaître le mode de gestion adaptée à votre profil ? Nos conseillers sont à votre disposition. Nous vous invitons à prendre contact avec l’un d’entre eux via l’onglet « souscrire ».

L’avantage du PER pour les personnes fortement imposées

Le PER permet aux personnes qui y souscrivent de bénéficier d’un avantage fiscal plutôt intéressant prenant place sous forme de versements déductibles des revenus imposables. Cette particularité représente alors un bonus relativement utile en ce qui concerne les contribuables imposés au minimum à 30%.

Depuis le 1er octobre 2019, le plan d’épargne retraite a remplacé les contrats retraite tels que le PERP, Préfon ainsi que les contrats Madelin.

Les principaux avantages du PER sont :

  • La transférabilité d’un établissement à un autre,
  • La possibilité d’une sortie en capi­tal,
  • Un accès à une gestion libre et sécurisée.

 

Ce dernier point permettra aux épargnants de miser sur le rebond de l’activité économique, et par conséquent sur celui des ­actions, lorsque la crise sanitaire sera derrière nous.

Le seul « inconvénient » que l’on peut trouver à ce contrat est que l’épargne (ou le capital) est sauf exceptions bloquée jusqu’au passage à la retraite.

L’assuré peut effectuer des arbitrages pendant la période de constitution de son épargne retraite. Un arbitrage est un mouvement de fonds dans l’enveloppe Retraite PER et/ou Assurance Vie.

Au niveau de la fiscalité, le contrat PER donne accès à une déductibilité des versements des épargnants de leurs revenus imposables, néanmoins l’épargne subit tout de même une taxe lors de la sortie.

 

Souscription

Les épargnants ont la possibilité d’alimenter leur contrat quand ils le souhaitent, sans être limité en termes de montant.

Il est possible de contracter un contrat PER en passant par un assureur, un courtier, un établissement bancaire, etc. Cependant, il est également possible de passer par le biais de son entreprise (dans le cas où l’employeur proposerait déjà un PER d’entreprise), ce qui offre alors la possibilité d’y placer l’épargne salariale pour la faire fructifier sans subir d’impôts, comme le permet la loi.

Ce qu’il faut retenir, c’est que les versements sont libres. L’épargnant peut alimenter son PER quand il le souhaite et avec le du montant qui lui plaît.

Un autre avantage important : les fonds épargnés peuvent être transférés vers le contrat PER de n’importe quel autre établissement. Ce transfert peut être effectué à n’importe quel moment et est peu coûteux. En effet, les frais prélevés par l’établissement émetteur ne dépassent pas les 1% de l’épargne dans le cas où le plan aurait moins de cinq ans, et au-delà une gratuité est imposée par la loi.

 

Pour connaître les différents contrats disponibles sur le marché, vous pouvez dès à présent utiliser notre comparateur PER.

 

Transfert

Il faut savoir que les contrats d’assurance vie ainsi que les anciens contrats retraite ont la possibilité d’être déplacés sur un contrat PER.

En effet, la loi PACTE offre désormais la possibilité de procéder au transfert des anciens contrats retraite comme le PERP et les contrats Madelin sur un nouveau contrat PER. Cependant, il n’y a pas d’urgence, car bien que ces produits ne soient plus commercialisés, les contrats déjà existants ne sont pas clôturés et peuvent continuer d’être alimentés au bon vouloir de l’épargnant.

Il y a toutefois des frais qui seront à régler dans le cadre du transfert. Ces derniers sont à hauteur de 5% maximum de l’épargne s’il s’agit d’un contrat ayant moins de dix ans.

NB : jusqu’à la fin de l’année 2022, un contrat retraite PER est en capacité d’accueillir des assurances vie de plus de huit ans, à condition que l’épargnant se trouve à plus de cinq ans du départ à la retraite. Dans le cadre de ce transfert, l’épargnant a le droit à une déduction sur ses revenus imposables, à laquelle s’ajoute une exonération sur les gains à hauteur de 9 200 euros (18 400 euros s’il s’agit d’un couple).

Ceci constitue une certaine attractivité pour les contribuables jugés plus imposants.

Néanmoins, il faut avoir conscience que l’épargne ne sera pas disponible durant la période de vie active.

 

Déblocage

Il est effectivement possible de récupérer l’épargne accumulée en cas de coup dur (accidents de la vie) ou dans le cadre de l’achat d’un logement.

Lors de la souscription d’un contrat PER, les fonds investis sont bloqués jusqu’au départ à la retraite (ou jusqu’à l’âge légal qui est aujourd’hui placé à 62 ans aujourd’hui).

Un déblocage dit « anticipé » est possible dans les cas suivants :

  • Le décès du conjoint (marié ou pacsé),
  • L’invalidité du souscripteur, des enfants, ou de son conjoint,
  • Un cas de surendet­tement,
  • La fin des droits aux allocations chômage,
  • Suite à un jugement et à une liquidation judiciaire de son entreprise,
  • Dans le cadre de l’acquisition de sa résidence principale.

Dans chacun des cinq cas ci-dessus, seulement des prélèvements sociaux de 17,2% sur les intérêts et les sont effectués.

Néanmoins, dans le cadre de l’acquisition de sa résidence principale, les montants débloqués subissent un impôt.

 

Gestion

Dans le cadre de la gestion du contrat PER, l’épargnant peut sélectionner lui-même ses fonds, ou alors, il peut choisir de déléguer cela à un gestionnaire.

À moins que le titulaire du contrat en décide autrement, les versements effectués sont associés par défaut à ce qu’on appelle la gestion à « horizon ». Ce mode de gestion à pour objectif de réduire les risques financiers au fur et à mesure que l’âge de la retraite se rapproche :

 

L'évolution des risques financiers dans le cadre d'une gestion à horizon.
L’évolution des risques financiers dans le cadre d’une gestion à horizon.

 

Vous pouvez en apprendre davantage sur les modes de gestion des contrats PER en consultant notre étude.

L’épargnant a néanmoins la possibilité d’opter pour un profil plus dynamique, mais aussi plus risqué.

Il est également possible de choisir une gestion libre, cette dernière implique que le titulaire assurera lui-même la balance entre le fonds en euros et des fonds jugés plus “agressifs”.

 

Sortie

La sortie des fonds épargnés peut être effectuée soit en ­capital, soit en rente viagère ou soit un mix de ces deux formules.

Point positif de la sortie en rente : généralement, les contrats PER propose d’office une option de réversion sur le conjoint survivant si le titulaire venait à décéder avant d’avoir liquidé son épargne.

Concernant la sortie sous forme de capital, cette dernière peut avoir lieu en une seule et unique fois ou de manière fractionnée, à la condition que le souscripteur n’a pas opté pour une sortie en rente lors de la signature du contrat.

Enfin, il est intéressant de savoir que la sortie en rente et la sortie en capital peuvent être mêlées et mixées. Ce mode de sortie permet de se garantir un revenu à vie tout en disposant librement d’une partie de l’argent investi.

 

Pour connaître les différents contrats disponibles sur le marché, vous pouvez dès à présent utiliser notre comparateur PER.

 

Fiscalité

Dans le cadre d’un PER, il existe un bonus à l’entrée, néanmoins, le capital et les gains sont soumis à l’impôt à la sortie.

Les versements effectués peuvent être déduits des revenus annuels de l’épargnant, avec une limite de 10% des revenus ainsi que d’un plafond établi en 2021 à hauteur de 32 909 euros.

Cependant, un problème se pose : le bonus à l’entrée est tout de même repris lors de la sortie. En effet, le capital et la rente versée sont soumis à l’impôt. Il est tout de même possible de passer outre la déduction fiscale à l’entrée, cela dans le but de profiter d’une fiscalité moins importante au moment de la sortie. Cette possibilité semble intéressante pour les contribuables peu imposés.

Enfin, il existe ce que l’on appelle la fiscalité “successorale”. Dans le cas où le décès du titulaire du contrat a lieu avant qu’il ait atteint l’âge de 70 ans, le capital investi s’adapte aux mêmes règles que l’assurance vie. Effectivement, ce capital sera alors versé aux bénéficiaires désignés sans soumission à l’impôt, et ce, jusqu’à 152 500 euros. En revanche, en cas de décès après l’âge de 70 ans, l’abattement se retrouve limité à 30 500 euros, et le solde et ainsi soumis à des droits de succession.

 

Préparer sa retraite est devenu primordial, nous vous invitons ainsi à contacter l’un de nos conseillers via l’onglet « souscrire ». Vous serez recontacté rapidement afin de découvrir le contrat le plus adapté à votre profil et ainsi pérenniser votre avenir.

Le mode d’emploi du PER

Un PER, qu’est-ce que c’est ?

 

Le Plan Epargne Retraite (PER) est le nouveau produit d’épargne-retraite disponible sur le marché depuis le 1er octobre 2019. Issu de la loi PACTE, son objectif est d’inciter les Français à se construire un capital qui, une fois à la retraite, agira comme un complément de revenu.
Il permet une plus grande souplesse que ses prédécesseurs (PERP, PERCO, Madelin, régime PREFON…). En effet, ces derniers sont amenés à disparaitre complètement au profit du PER.
Si vous possédez déjà des contrats de ce type, vous pouvez grâce à sa forte portabilité les transférer sur un PER.

 

Le fonctionnement du PER

 

Durant votre vie active

Le PER, tout comme le PERP ou l’assurance-vie est établie sur un principe de capitalisation. Durant votre vie active, vous placez vos économies sur des supports d’investissement étant plus ou moins risqués : le fonds euros et les unités de comptes. Les intérêts réalisés sont capitalisés sur le contrat puis réinvestis.
Lors de votre vie active, le capital est bloqué jusqu’au moment de la retraite. Toutefois, la loi prévoit des cas de déblocages anticipés :
– pour l’acquisition de votre résidence principale
– en cas d’accident de la vie (décès du conjoint, invalidité, surendettement, fin des droits à l’assurance chômage…)

 

Au moment de la retraite

Lorsque vous partez à la retraite, le PER va vous permettre de compléter vos revenus sous la forme :
Lors de votre départ à la retraite, le PER va vous constituer un revenu complémentaire sous forme :
– d’une rente viagère
– de capital versé en une ou plusieurs fois
– d’un mixe de ces deux formes

 

Les avantages du PER

 

  • Réduire vos impôts durant votre phase d’épargne est le principal avantage du PER

En effet lorsque vous souscrivez à un contrat PER vous pouvez déduire les versements effectués sur celui-ci de votre revenu imposable. Cependant, une certaine limite est fixée. Le plafond défini dépend de votre tranche marginale d’imposition.

 

  • Le PER vous oblige à mettre de côté

Les sommes que vous versez sur votre PER sont bloqué jusqu’à l’âge de la retraite, en effet, c’est une solution d’épargne à long terme. Cela oblige donc le titulaire du contrat à ne pas toucher son épargne et à la faire fructifier en vue de sa retraite.

 

  • La gestion pilotée appliquée par défaut

Tous les contrats PER proposent la gestion pilotée par défaut. C’est-à-dire que les sommes qui seront versées seront réparties entre les différents supports d’investissements (fonds euros et/ou unités de compte) selon votre profil d’épargnant :

  • Prudent
  • Équilibré
  • Dynamique

L’atout de ce mode de gestion est qu’il permet d’adapter l’investissement de votre épargne à votre situation afin de trouver le point d’équilibre entre le risque pris et le rendement espéré. De ce fait, plus vous êtes éloigné de la retraite et plus votre épargne sera investie sur des supports performants (donc plus risqués). Au contraire, plus vous vous rapprochez de l’âge de la retraite et plus votre épargne sera placée sur des supports sécurisés (fonds euros).

Le mode de gestion pilotée est appliqué par défaut dans tous les contrats PER, vous pouvez toutefois dans n’importe quel contrat changer de mode de gestion et demander une gestion libre ou une gestion à horizon.

 

La fiscalité à l’entrée du PER

 

Durant votre phase d’épargne vous avez le choix entre ces deux options :

  • Déduire les versements effectués sur votre PER de votre revenu imposable
  • Ne pas déduire vos versements de votre IR (revenu imposable)

 

La fiscalité à la sortie du PER

 

La fiscalité à la sortie de votre contrat dépendra du type de sortie (rente ou capital) et de la fiscalité appliquée à vos versements.

 

Pour une sortie en rente

 

  • Le titulaire à choisi la déduction des versements à l’entrée du contrat :
    La rente est assujettie à l’impôt sur le revenu suivant le régime fiscal des rentes viagères à titre gratuit (RVTG). Elle est notamment soumise aux prélèvements sociaux à hauteur de 17.2%.

 

  • Le titulaire n’a pas choisi la déduction des versements à l’entrée du contrat :
    La rente est assujettie à l’impôt sur le revenu ainsi qu’aux prélèvements sociaux suivants
    Le régime des rentes viagères à titre onéreux (RVTO).

 

À savoir : Les régimes fiscaux des rentes viagères

Régime fiscal des rentes viagères
Régime fiscal des rentes viagères

 

 

Pour une sortie en capital

 

  • Le titulaire à choisi la déduction des versements à l’entrée du contrat :
    La part qui correspond aux versements effectués est assujettie au barème progressif de l’impôt sur le revenu. Les plus-values réalisées, elles sont soumises au prélèvement forfaitaire unique (PFU) étant de 30% (dont 12.8% d’impôt sur le revenu et 17.2% de prélèvements sociaux.)

 

  • Le titulaire n’a pas choisi la déduction des versements à l’entrée du contrat :
    Seulement les gains réalisés sont soumis au PFU (30%)

 

Si vous souhaitez en apprendre davantage sur le PER nous vous invitons à prendre contact avec l’un de nos conseillers via l’onglet « souscrire ».

Info Loi Pacte

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